Sujet: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 18:59
alana heather greer
( We don't need nobody, cause we got each other )
FAMILLE › J'aborde l’illustre nom de Greer, à la connotation américaine. Synonyme de puissance, de prestige et de luxe, sa grande renommée s'est faite grâce à Greer Society. Publiant depuis des générations un magazine de mode, l'entreprise demeure la plus grande fierté des ascendants Greer, au détriment de leur propre famille. PRÉNOM(s), SURNOM ›Alana est le prénom qui m'a été attribué à la naissance, bien qu'il ne soit pas tellement à mon goût à cause du surnombre de la voyelle "a". Heather fût le second prénom que je reçus, ayant pour seule et unique utilité d'apparaître sur mes pièces d'identité. Lorsque nous n'étions encore que des enfants, les jumeaux n'arrivaient pas à prononcer correctement mon prénom. Alors ce dernier s'est progressivement déformé avec le temps pour devenir Nana. Surnom encore utilisé de nos jours... ÂGE, DATE & LIEU DE NAISSANCE › Ayant ouvert les yeux pour la première fois en 1987, c'est la ville d'Athens en Géorgie qui m'a accueilli dans ce monde le vingt-trois novembre. Il y a tout juste vingt-neuf années maintenant que mon premier cri a retenti dans l'espace temps. ORIGINES › Malgré la fierté américaine déléguée par un père nationaliste, les traits de mon visage trahissent les origines italiennes héritées du côté maternel de mon arbre généalogique. ARGENT › C'est grâce à la fortune familiale qui j'ai pu profiter des joies de la richesse étant plus jeune. Mais plus j'avançais dans ma vie, plus je ressentais le désir d'être indépendante financièrement. J'ai construis de moi-même une fortune relativement élevée, même si je ne peux nier le coup de pouce de ma famille. MÉTIER › Reconnue mondialement pour mes talents et mon excellent travail en tant que rédactrice en chef chez Greer Society, je vis pour mon métier. Certains vous diront que je suis exigeante et d'autres tyrannique, à l'image du fameux film The Devil Wears Prada. Ce poste incombe d'être une image publique, je n'ai jamais le droit à l'erreur. PASSE-TEMPS › les sorties entre amis, regarder des tutoriels décoration sur youtube, lire aussi bien des romans à l'eau de rose que des thrillers, jouer du piano. AMOUR › Éternelle insatisfaite, je traite avec la même exigence ma vie professionnelle et ma vie privée. Célibataire depuis plusieurs années, je suis mariée à mon travail et n'ai que faire des flatteries ou autres du genre. Refus de l'amour, coeur de pierre ou tout simplement baignée par la peur de l'engagement, nul ne le sait. SECRET INAVOUABLE › Quand elle n'a rien à faire le soir dans son appartement, il lui arrive parfois de mettre Dirty Dancing. C'est alors qu'elle met à chanter et à faire une chorégraphie délurée, la broche à cheveux en guise de micro. Les films romantiques lui permettent de s'évader et de la faire rêver. Mais pour le reste du monde, elle déteste les films à l'eau de rose. Le seul témoin reste son chien. PORTE-BONHEUR › Un mince bracelet en perles noire avec au centre une aile d'ange très fine en argent. Un cadeau de ma mère lors d'une virée shopping rien que toutes les deux. Une réelle complicité mère et fille avant que tout s’effondre au sein de notre famille. Je n'ai jamais quitté ce bracelet depuis ce jour. QUALITÉS › loyale, rationnelle, responsable, volontaire, persévérante, ambitieuse, attentionnée, généreuse, sincère et cache une certaine spontanéité. DÉFAUTS › méfiante, solitaire, rancunière, bourreau de travail, exigeante, bornée, fière et impatiente. GROUPE › saturn.
Drop it like it's hot in the pale moonlight
Fille de riche famille, les Greer, Alana n'a jamais vécu dans le manque. ≈ Quand elle n'était encore qu'une enfant, elle a cassé le vase hérité de la grand mère maternelle. Ayant trop peur de se faire gronder, elle a accusé les jumeaux. ≈ Du fait de son statut social, Alana aurait pu être une fille pourrie gâtée et capricieuse. Mais au contraire, elle est toujours restée simple et débordante d'énergie. ≈ Elle s'est progressivement détachée financièrement de sa famille pour pouvoir créer sa propre renommée. ≈ Rédactrice en chef chez Greer Society, elle est connue pour son excellence et sa rigueur au travail. ≈ Elle est souvent associée au personnage de Meryl Streep, dans Le Diable s'habille en Prada. ≈ Autrefois, elle rêvait d'une relation amoureuse telle que ses parents, étant son plus beau modèle. ≈ Lorsque son père a trompé sa mère, elle n'a jamais pu l'accepter. Toute la famille en a souffert et Alana s'est convaincu que l'amour n'apportait rien de bon. Elle y a complètement renoncée. ≈ Très proche de sa mère, elle s'est sentie mise à l'écart lors de son seconde mariage et n'a jamais pu lui pardonner. ≈ Alana refuse de l'admettre publiquement mais il lui arrive de pleurer devant un film à l'eau de rose, dont elle prétend détester. ≈ Elle peut paraître avoir un coeur de pierre, c'est absolument tout l'inverse. Si elle pouvait, elle ferait de son appartement un refuge pour animaux abandonnés. ≈ Alana joue du piano depuis son plus jeune âge. Elle espérait en faire son métier autrefois. ≈ Lorsque la demoiselle a rencontré la première fois Esteban, c'était une véritable explosion de sensations. ≈ Ce n'est qu'avec ce parfait inconnu qu'Alana a pu s'ouvrir aux autres et à elle-même depuis des années.
PSEUDO, PRÉNOM › winter rose. (aurélie) ÂGE › vingt-deux ans. PAYS, RÉGION › france (languedoc-roussillon). CONNEXION › un peu tous les jours. INVENTÉ, SCÉNARIO, PRE-LIEN › pré-lien d'ivanou. AVATAR › emilia clarke. CRÉDITS › emiliaclarkeresource.tumblr.com COMMENTAIRES › vive les lamas !
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Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 19:00
We don't need nobody, cause we got each other
Comme toutes les petites filles, j'ai eu des rêves. Certains réalisables et d'autres complètement délurés, à la limite de la folie. Je rêvais d'être danseuse étoile pendant un temps puis je passais à la vocation de devenir vétérinaire, sans mentionner le désir primaire de toutes little girls : être princesse. Puis en grandissant, j'étais prise par l'envie de parcourir le monde, l'indépendance. Paris. Londre. Madrid. Berlin. Rome. Mais à quoi bon vivre si on ne s'autorisait par le droit de rêver ? Rêver donne de l'espoir et la force de combattre le temps. Le temps qui passe, qui file à vive allure. Il est ensuite trop tard lorsque nous nous en rendons compte. Où est-il passé ? Qu'en ai-je fais ? Il est perdu. Il est irrécupérable.
La propagande du prince charmant. Celui qu'on voit dans les Walt Disney. Lorsque nous sommes enfants, j'ai entendu de nombreuses fois, que ce soit de la bouche de ma mère ou de ma nounou, que j'étais forcément lié à un homme et que le destin me conduirait automatiquement à lui. Qu'un jour ou l'autre, je tomberais sur l'homme de ma vie qui saura me combler et me faire vivre un réel conte de fée. On me vendait du rêve. Mais au final, il faut nous rendre à l'évidence. Nous ne faisons plus partie de la génération de nos parents, où les hommes étaient galants et savaient préserver leur femme de toutes les cruautés du monde. Ce côté fort, protecteur et amoureux. Nous sommes une génération qui est dans l'immédiat et dans l'évolution. Une génération qui ne peut se satisfaire d'une monotonie et d'une dépendance à autrui. Comment je me suis rendue compte de cette évidence ? En étant totalement neutre et objective aux récits de mes amis. En plus de ceci, mes parents représentaient à mes yeux le couple parfait que nous envions tous. Nous sommes bien vite retombés de notre piédestal. Tromperie et manipulation. Le divorce de mes parents et le remariage de chacun des deux ont complètement détruit nos relations familiales. Tirailler. Déchirer. Haine. C'est à cet instant précis que j'ai compris que le prince charmant n'existait, n'existe et n'existera jamais. Il n'y a qu'une succession de mensonges et d'illusions. Regardez nos repas de famille recomposée qui finissent en troisième guerre mondiale. Je ne trouve du soutien qu'à travers les jumeaux, Bash et Marin. Et pourtant, en tant que grande soeur, c'est plutôt de mon devoir de les soutenir. Alors je me suis forgée une carapace. Je suis devenue la plus grande rédactrice en chef de magazine de mode à travers mon acharnement au travail et non aux relations de mon paternel. J'ai prouvé ma valeur, au détriment de ma vie privée. Crainte par mon équipe, je suis associée à une femme sans compassion et sans coeur. Mais celui-ci est simplement fermé. Il se refuse à s’abandonner à des rêves enfantins et accepte pleinement la vérité d'une solitude.
Un miroir ne triche pas. Il reflète telle quelle l'image qu'il absorbe. Il n’interprète rien. Il ne suggère rien. Il n'ajoute aucun artifice. C'est à nous de faire notre propre analyse. De voir et de croire. Notre reflet n'est pas vraiment le symbole de nos rêves. Le temps est une chose précieuse qui n'est malheureusement pas accordé à tous. Alors on observe nos traits, notre corps, debout devant ce miroir. Je ne m'étais pas détaillée ainsi depuis un long moment. Est-ce cette vitre qui est terne ou serait-ce le renvoi de ma propre solitude. Qu'avons-nous accompli durant ces dernières années ? C'est à ce moment, avec notre réflexion et les réponses évidentes qui s'enchaînent à nos interrogations, que les regrets nous envahissent.
Et il y a eu ce fameux soir, il y a environ un an, où je l'ai rencontré, lui. Je sortais de cet interminable défilé de mode, suivi de près par une réception pour prouver une fois de plus que cette grande marque de prêt-à-porter a les relations nécessaires qui contribuent à sa notoriété. C'était bien évidemment pour cette raison-là que je faisais partie des invités d'honneur. Mais cette soirée trainait terriblement en longueur. Si bien que j'ai fini sur le quai de la gare de Los Angeles, talons aiguilles à la main et à bout de souffle due à ma course. Le dernier train pour Athens s'éloignait à l'horizon jusqu'à ce que je peine à le voir. Voilà que j'étais coincée dans cette ville qui m'exaspérait un peu plus à chaque minute, faisant bouillonner en moi cette colère. Aujourd'hui encore, je me souviens de ma réaction à ce moment-là : jeter un de mes talons contre le fameux train dans un geste de désespoir. J'aurais voulu hurler et lancer un juron contre le destin, même si je n'ai pu empêcher un petit de sortir de ma gorge. Et puis je l'ai vu arriver avec un petit sourire en coin, il venait de récupérer ma chaussure sur les rails. C'est en relevant la tête que son visage s'est offert à ma vue. Un charme des plus déstabilisant. Je ne pouvais détacher mon regard. Pour la première fois, il était un imprévu que j'appréciais à ma plus grande surprise. Malgré moi, je me sentais totalement vrillée face à sa spontanéité. Surprenant. Il s'est abaissé à mes pieds, avec juste un "puis-je ?" avant de me remettre mon talon haut. Tel le dessin animé de Cendrillon, je me sentais fondre dans ses yeux profonds. Je n'étais pas habituée. Depuis des années, on me fuyait à cause de ma réputation. Et aujourd'hui, un parfait inconnu m'approchait. Contre toutes attentes, sa proposition était de passer la nuit en sa compagnie à visiter la ville et boire pour oublier cette fameuse histoire de train. Rien de sous-entendus. Pourtant, j'ai longuement refusé, tentant de l'éviter mais ce jeune homme revenait toujours au grand galop. Etait-il têtu ou n'acceptait-il simplement pas le rejet ? "Tu as du temps à perdre, tu peux le perdre avec moi." Il n'avait pas tout à fait tord. Le fait d'être aussi insistant m'a fait céder. Esteban. Il savourait pleinement sa victoire. Quelqu'un de rationnel aurait déjà abandonné l'affaire depuis plusieurs minutes. Or, il était resté à mes côtés, me vantant éperdument sa compagnie et la beauté de la ville de Los Angeles. Je dois l'avouer, il était doté d'un fort pouvoir de persuasion. Nous sommes alors partis à la conquête de Los Angeles. Et sans vous mentir, c'était la plus belle nuit de ma vie. Je me suis sentie libre avec une poussée d'ailes. Je ne faisais plus attention aux regards des autres. Je faisais ce dont j'avais envie. J'ai laissé la femme impulsive, spontanée et dynamique se réveiller du plus profond de mon être où elle s'était endormie depuis des années. J'avais le sourire. Le même qui était dessiné sur les lèvres de mon compagnon. Il faisait ressortir, par je-ne-sais-quel-moyen, le meilleur de moi-même. La femme que j'espérais être. Comment le pouvait-il ? Il avait l'air de si bien me connaître. Un sentiment partagé. Au fur et à mesure de la nuit, une grande complicité s'est installée entre nous, accompagnée progressivement d'une certaine ambiguïté. Entre l'alcool et la magie de cette nuit, nous avons fini tous les deux dans une chambre d’hôtel. Ce sont les rayons de soleil frappant mon visage le lendemain matin qui m'ont réveillé. A mes côtés, cet homme, qui m'avait comblé et au corps si parfait, était endormi. J'aurais voulu rester dans ses bras, faire mine de dormir encore juste un peu pour en profiter. Mais une explosion m'atteint au coeur quand j'ai aperçu l'heure. J'allais une fois de plus rater mon train pour Athens. C'est totalement paniquée que je suis sortie en trombe de la chambre, après m'être habillé rapidement. C'est une fois assise confortablement en première classe du train que j'ai pris le temps de réfléchir. Je n'avais ni son nom ni son numéro de téléphone. Juste le souvenir ancré à jamais de cette merveilleuse aventure.
Dernière édition par Alana Greer le Ven 22 Jan - 21:41, édité 66 fois
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 19:03
Hello, hello et bienvenue sur le Forum.
J'allais te contacter car au niveau coeur, nos deux personnages sont les mêmes, puis j'ai lu le reste et en fait, tu veux le contraire.
Enfin bref, bon courage pour ta fiche.
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 19:08
MERCI BEAUCOUP POUR TON ACCUEIL Aha oui, c'est vrai que dans ma tête, mon idée se tournait dans ce sens. Mais nous pouvons toujours discuter d'un lien et voir où ça nous mène !
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 19:13
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 20:24
Non t'en fais pas. J'avais mis les enfants au feeling mais donc je peux agrandir la famille sans soucis.
Je le sais, Aurélie sans Emilia ça existe pas.
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 20:27
Super alors ! Du coup tu préfères que ça soit une Milton ou une Greer ?
MDRR Ca semble impensable !
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 20:28
bienvenuuue, chère bff
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 20:38
bienvenido excellent choix que tu nous a fait là et si tu cherches toujours un boulot, iz ça l'ennuierait pas d'avoir une boss sexy au palace
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 20:48
Isaac Kipling a écrit:
et si tu cherches toujours un boulot, iz ça l'ennuierait pas d'avoir une boss sexy au palace
comment on fait, on se fight ?
Comme je t'ai dis, ma belle, Todd peut très bien te trouver une petite place bien placée ou pas dans son petit atelier de menuiserie si tu es intéressée Enfin, Bienvenue officiellement
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 20:52
Alana Greer a écrit:
Super alors ! Du coup tu préfères que ça soit une Milton ou une Greer ?
MDRR Ca semble impensable !
Je l'ai mis chez les Greer mais c'est comme tu préfères.
Totalement ça.
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Dim 17 Jan - 21:06
Que tu te retrouve à travailler avec Iz ou avec Todd, je crains qu'il ne nous faille un lien bienvenue à toi, emilia est vraiment magnifique
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Mar 19 Jan - 21:28
L'avatar + Le pseudo je fonds, bienvenue
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Mer 20 Jan - 7:23
OOOH MERCI BEAUCOUP TOUT LE MONDE Ca me fait super plaisir cet accueil !
Merci beaucoup pour vos propositions de métiers, mais avec le pré-lien que j'ai finalement pris, j'ai choisi un autre métier qui correspondait davantage ! ^^
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Mer 20 Jan - 13:40
Emilia. Bienvenue parmi nous et courage pour ta fiche.
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Mer 20 Jan - 16:35
emilia est tellement belle bienvenue parmi nous
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Ven 22 Jan - 17:07
la seule et l'unique, emilia. bienvenue parmi nous ma belle.
Invité
Sujet: Re: ≈ my enemy is myself tonight. {alana} Ven 22 Jan - 20:08
Merci à tous pour votre accueil Je termine ma fiche ce soir !